7 novembre 2020
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20:30
Il ne restait plus qu'à boire de la chicha et faire la fête
Ils étaient trés heureux de nous voir et d'être arrivé à pied qu'ils ont sortis les instruments de musique et prêtés leurs habits traditionnels
En fait ils sont très pauvres et aucune banque ne s'intéresse à leur sort; ils vivent avec ce qu'ils peuvent produire comme nous en France pendant des siècles où les paysans n'avaient pas d"argent.
C'est en étant avec eux et grâce à leur accueil que j'ai compris que le bonheur d'exister sur terre restait possible même dans un semis désert. D'où je venais, on était passé à l'énergie nucléaire car il en fallait toujours plus pour demain être heureux