Cet article de La Dépéche du 10 Mai n'a pas plu aux habitants du village, un mot les a choqué: PESTIFÈRÈ.
Pourtant il est bien écrit "j'ai le sentiment d'être un pestiféré pour certains de mes voisins". Ce sentiment vient de mon impression personnelle ressentie dés que j'ai posé le pied sur le sol français, sur le parking de l'aéroport, quand mon fils a posé les clefs sur le capot du véhicule sans vouloir m'approcher.
Pour ce qui est de "certains voisins" c'est toujours les mêmes qui ne disent pas bonjour: c'est le club "des pas bonjour". Il parait que c'est toujours comme ça dans nos petits villages de France, donc pas de soucis, on est dans la norme.
Mais de ce moment historique pour la renommée de Saint Orens Pouy Petit c'est l'interview faite en direct sur les ondes de Sud Radio qui restera dans les mémoires: du vrai journalisme d'actualité.
PLUS DE 300 000 AUDITEURS SAVENT MAINTENANT QUE LE PLUS PETIT CHÂTELAIN DE FRANCE EST RENTRÈ DU BRÉSIL SANS LE COVID