Premier discours Lula: extrait

Et parfois, je me sentais comme l'histoire d'un esclave que j'ai lu dans un livre. L'esclave a été condamné à recevoir 100 coups de fouet. Après que le gars au fouet lui ait donné 98, il est venu le voir et lui a dit : "J'arrêterai de donner le fouet si tu remercies ton propriétaire. Si tu remercies ton propriétaire, je ne te donnerai pas les deux autres. Et le gars a dit : "Comment puis-je vous remercier ? Je suis déjà battu. Pourquoi devrais-je m'arrêter ? Donne-moi les deux autres."

Donc, s'il y a un citoyen qui est à juste titre blessé par les coups de fouet, c'est bien moi. Je ne le suis pas. Les gens pensent qu'après avoir été fouetté, il suffit de jeter un peu de sel et de poivre dessus pour que ça guérisse avec le temps. Peu importe les cicatrices qui sont laissées sur les gens.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

lCe ne sont pas les agriculteurs qui ont besoin d'armes pour tuer les sans-terre ou pour tuer les petits propriétaires terriens. Ce ne sont pas les miliciens qui ont besoin d'armes pour mener des actions terroristes dans la périphérie de ce pays. Tuer des garçons et des filles, en particulier des garçons et des filles noirs, qui sont les principales victimes des armes à feu et des balles perdues dans ce pays.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)