Sur la couverture papier glacé de ce grand tirage de la presse française: un mot qui faisait rougir, la pipe.
Elle a mené une enquête avec des spécialistes du corps humains et des sondeurs diplomés en science sociale pour savoir comment, combien, pourquoi, depuis quand, elles sucent des bites. C'est trés important effectivement de ne pas se sentir seul dans cette pratique et certaines avouent qu'elles aiment ça.
Mais en lisant l'article, on reste un peu sur sa faim: tous les témoignages de ces femmes ont entre 25 et 45 ans. Elles sont en couple et l'article souligne que la fellation est : le ciment de leur union. Aucun mot sur les vraies professionnelles de la fellation, qui remplissent des charters vers les paradis du sextourisme, aucune information sur l'âge légal ni sur la formation de la pratique de l'acte. La fellation est-elle autorisée et encouragée dans les maisons de retraite? ect, ect...
Il reste un chapitre que beaucoup ignore, ils nous vient du Brésil. Des auteurs et des sociologues ont décrit le suçage du sexe d'un petit garçon comme un moyen utlisé par les nounous africaines pour calmer les pleurs de l'enfant dont elles avaient la garde; si elles faisaient ça maintenant en France, iraient-elles en prison?
/image%2F0670966%2F20230816%2Fob_2174fc_portrait-couleur-2.jpg)